STOP à la DISPARITION DES USINES en FRANCE

L’exemple de PSA PEUGEOT CITROEN confirme mes analyses passées : nos gouvernants font depuis 35 ans tout ce qui est possible pour faire disparaître les usines et autres activités agricoles. Alors, pourquoi vous, français, vous étonnez-vous  encore ? Pourquoi, vous,  les médias continuez à être surpris de ce type de décision ?  Je confirme que la France, faute d’espérer être couverte de ses dettes par Chypre, Malte ou autres micros-pays, encore moins  par l’Espagne, l’Italie ou le Portugal, et tous les autres pays de cette zone Euro, n’a qu’une seule solution : sortir de l’Euro, assumer ses dettes en se protégeant sérieusement d’une concurrence étrangère insupportable puisque ne jouant pas dans sa  « division ». En tant que 5° puissance mondiale, la France peut assumer ses dettes : il lui suffit de recréer des emplois en aidant les créateurs et en dissuadant les entreprises d’exporter notre savoir faire et  nos emplois. Ainsi, plus de problème de cotisation sociale (équilibre vite retrouvé), ni de « sécurité » puisque les jeunes retrouveront espoir d’un travail reconnu et rémunéré. Seuls les BAC + 4 qui acceptent des jobs, genre « vente de téléphonie arnaque » devront se recycler dans de vrais emplois sérieux, ambitieux et bien rémunérés. On retrouvera automatiquement une majorité de français apte à payer des impôts correspondant aux « justes » services de la collectivité. Mais, bien sûr, fini provisoirement les achats de produits d’importation à « très bas prix » (malgré de grosses marges des commerçants). Fini aussi la retraite à 55 ans alors qu’on vit jusqu’à 85. Et ça n’est plus un problème dans la mesure où la confiance et l’espoir sont repassés au VERT.

Alors, français, ne vous indignez pas mais : Réagissez !  Il faut impérativement que les 40 millions de français déçus de la gauche et de la droite cherchent l’équipe de dirigeants issus de la société civile pour assumer les profondes réformes nécessaires au dépassement de la société socialo-capitaliste que tous subissent.