MACRON : la GUERRE

Notre monarque a affirmé qu’on était en guerre : contre le covid, il a commencé par perdre en ne prenant pas les décisions impératives dès le mois de janvier 2020.

Depuis le début de son quinquennat, il fait la guerre au Mali avec son opération calamiteuse dite Barkane où les terroristes tuent nos soldats et se multiplient aux yeux d’une O N U incapable et corrompue. Il ne fait pas la guerre aux vendeurs de drogues qui polluent les quartiers et engendrent encore plus de violences urbaines ; il ne fait pas la guerre aux violeurs et autres féminicides, encore moins aux blacks blocs qui cassent tout (comme en mai 68) en toute tranquillité sous l’œil bienveillant des « forces de police » ; il ne fait pas la guerre aux forces de police chargées seulement d’arroser, lancer des bombes lacrymogènes ou d’utiliser des tasers face aux français qui osent manifester ; il ne fait pas la guerre aux juges qui condamnent rarement les politiques et dans ce cas  « avec sursis » et les délinquants multirécidivistes afin que ces derniers tuent leur ex-compagne sans être inquiétés.

Et comme son garde des sots (erreur ? : non, car couvrant tous les errements de cette justice gravement incompétente, permissive et qui pardonne à outrance). Dupont-Moretti part lui-même en guerre dans le nord contre des moulins à vents ; il ne peut s’occuper d’un job qui mériterait aussi de reconsidérer le rôle des avocats qui défendent les criminels (regardez les J. Vergès et R. Dumas allant défendre Gbagbo … pour le plaisir et pour l’argent).

Sa ministre des armées part en guerre contre les généraux et autres corps d’armée quand ceux-ci réclament une remise en état d’un monde sous l’emprise des guerres, des famines, de l’exploitation de milliards d’êtres humains par les puissants (politiques et financiers).

On fête l’anniversaire de l’élection de François Mitterrand, auteur de la loi (partagée avec son avocat Badinter) dite « contre la peine de mort » ; or, tout le monde est « pour » la peine de mort : d’une part, parce qu’elle nous guette à court terme, mais, surtout, parce qu’aucun chef d’Etat (ils sont 200) n’empêche les guerres, les crimes et les asservissements graves constitutifs de décès dans des conditions qu’un être humain ne devrait tolérer ;  Badinter oublie qu’il n’a jamais lutté contre ces fléaux qu’il ne saurait méconnaître ; pour cela, il faudrait éradiquer ces 200 chefs d’Etats pour que les successeurs imaginent les risques encourus à perpétuer les méfaits de toutes natures : ventes d’armes qui tuent, compromissions avec les dictateurs milliardaires qui imposent la déshumanisation des peuples et leur asservissement. Napoléon a fait tuer des millions de morts : vive Napoléon ! Hitler, aussi …

Aux Etats-Unis, un shérif peut se servir de son arme ; en France, seuls les voyous ont ce droit, les policiers étant mis en cause s’ils osent s’en servir. En France on est rendu à pleurer ce policier qui allait « fleur au fusil » dans ces quartiers craignos, sans gilet pare-balles, donc sans formation primaire et s’est fait tirer comme un lapin. Ne serait-il pas temps de redonner, comme aux Etats-Unis, le droit d’utiliser son arme « à bon escient » pour maitriser les malfaiteurs et leur faire comprendre de quel côté est la loi et le respect d’autrui ? Non, ça dépasse la capacité, non seulement de notre monarque actuel, mais aussi de tous nos politiques qui depuis 50 ans participent activement au délitement de toutes les règles morales de la vie en société.

Alors, français, signez tous la pétition de « Valeurs Actuelles » afin que surgisse un sauveur qui renverra tous nos politicards en retraite et de préférence "sans solde".